Deux générations de jeunes Français et de jeunes issus de l’immigration vivant sur le territoire national ont été éduquées dans un climat de haine de la police. Il était de bon ton bobo de ne pas aimer « les flics ». Faut-il alors s’étonner que « tuer du flic » apparaisse aujourd’hui normal en certains milieux ?
Laurie, assassinée comme en passant par un terroriste islamiste de banlieue, Coulibaly, en janvier 2015. À Montrouge. Clarissa, tabassée comme en passant le 31 décembre 2017, à Champigny-sur-Marne, par des individus médiatiquement appelés « jeunes des banlieues ». Deux exemples récents parmi tant d’autres de la réalité de la violence contre la police en France.
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