Cette année, la Biennale d’Art contemporain de la capitale des Gaules, intitulée « Là où les eaux se mêlent », a quitté la Sucrière, dans le quartier de Confluence, pour les vastes entrepôts sans âme et en friche depuis 2015 des anciennes usines Fagor. En montre-t-elle, de l’âme, cette vaste exposition ? Ou bien n’étale-t-elle que de pompeuses nullités comme l’art financiarisé en a pris la fréquente habitude ? Débat entre l’éditeur et écrivain Maximilien Friche et la singulière artiste Manon Oliveda. [...]
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