Et si notre tiers-mondisation était une chance ? Autrement dit, n’est-il pas préférable d’être premier chez les derniers que dernier chez les premiers ? Foin de ronchonnades ! En France nous crevons de toujours considérer le verre à moitié vide sans jamais être capable de le voir à moitié plein. Changeons notre regard ! Décrispons-nous surtout ! Sachons nous libérer de ces comparaisons inhibantes, à l’Allemagne par exemple, ou aux États-Unis. Le premier bienfait d’une tiers-mondisation assumée serait de nous aider à surmonter notre complexe d’infériorité de « puissance moyenne » qui « voyage en première classe avec un billet de seconde ». Nous retrouverions le moral, ce qui libérerait énergies et forces vives. [...]
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