Depuis une décennie, vous n’avez cessé d’alerter les Français sur la montée de la criminalité, de la délinquance, et même, sur la disparition des civilités qui font la civilisation. Quelle place occupe l’immigration dans cette mécanique mortifère ? Et qu’en disent les acteurs de terrain, policiers, professeurs, médecins, fonctionnaires territoriaux ?
L’immigration récente, tout particulièrement d’origine extra- européenne, occupe une place prépondérante dans l’insécurité et l’effondrement du capital social. Je ne parle pas seulement des étrangers, mais aussi des descendants d’immigrés, de nationalité française, dont une part non négligeable pose de grandes difficultés. Ceux qui y sont confrontés directement savent bien que le « vivre ensemble » n’est qu’une folle illusion. Malheureusement, c’est le propre des utopies de s’entêter contre les faits et la raison. Personne n’écoute le terrain, les autorités préfèrent communiquer et dépenser des sommes folles dans la rénovation et l’insertion, ce qui n’a jamais servi à rien. Mais on préfère imaginer que les êtres humains qui sont interchangeables n’ont aucun réflexe communautaire et organique, et se fondront donc sans discuter dans le creuset républicain.
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C’est le troisième tome de votre série. Qu’est-ce qui a changé en France depuis le premier ?
Une très nette aggravation des violences aux personnes, qui battent tous les records sous le mandat Macron-Darmanin, mais aussi des violences sexuelles, des homicides et tentatives. Toujours plus d’immigration incontrôlée, contre l’avis du peuple français. Une situation sociale des plus explosives. Et ces dernières semaines, beaucoup d’éléments déclencheurs d’une crise majeure sont apparus : l’inflation, la crise énergétique, un déficit commercial record, l’explosion de la dépense et de la dette, la guerre en Ukraine, de probables pénuries alimentaires... [...]
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