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Le père, c’est moi : quand l’État sape l’autorité parentale

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Publié le

17 juin 2025

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C’est un fait : l’autorité parentale n’est plus qu’une ombre au soleil de l’État nounou. Depuis des décennies, les prérogatives parentales se réduisent comme peau de chagrin alors qu’on ne cesse de déplorer la perte d’autorité. Pire encore, la justice s’en mêle jusqu’à même criminaliser le rôle parental. Analyse.
© Benjamin de Diesbach
Sous la République romaine, la patria potestas du père, ou « puissance paternelle », emportait droit de vie ou de mort sur chacun de ses descendants. Certes, la rigueur de ce droit archaïque, peu compatible avec l’ordre social d’une véritable cité, était déjà tombée en désuétude depuis longtemps à l’avènement de l’Empire. Toutefois, l’idée était restée, jusqu’à la Révolution française, d’une maîtrise totale des parents sur leurs enfants, dans la limite des bonnes mœurs et de la moralité chrétienne. [...]
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