La station de métro « Lionel-Groulx » à Montréal a été ces dernières semaines au centre d’une violente polémique, depuis qu’une pétition a été lancée pour que son nom soit changé. Il est vrai que l’abbé Lionel Groulx (1878-1967), un des pères de la nation québécoise, chantre du nationalisme canadien-français et grand adversaire politique des Canadiens anglais, a tout pour déplaire aujourd’hui en la métropole progressiste. Homme blanc, religieux, traditionaliste, également écrivain d’un des plus célèbres romans de la littérature canadienne-française, L’Appel de la race, il est une cible facile.
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !