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Sur le ton de l’humour, certains d’entre nous imaginaient récemment que les familles nombreuses finiraient un jour par être taxées sur le principe du « pollueur payeur ». Sachez que l’idée fait très sérieusement son chemin. C’est ainsi depuis plusieurs décennies : les folies sont d’abord moquées, avant d’être considérées puis finalement approuvées. À terme, elles deviennent même incontestables, et ce qui était autrefois la norme semble inacceptable et indicible.
« Les pays riches sont les premiers à devoir décroître démographiquement. Ce sont eux qui ont le mode de vie le plus polluant. Par ailleurs, limiter nos naissances nous permettrait de mieux accueillir les migrants qui frappent à nos portes », explique notamment l’écologiste Yves Cochet dans une tribune publiée par l’Obs. Le président de Momentum, une association de réflexion consacrée aux « transitions nécessaires pour amortir le choc social de l’anthropocène, a une logique des plus curieuses.
Afin d’éviter la surpopulation de la planète, il voudrait faire baisser la natalité des pays qui ne font plus d’enfants et faire venir le surplus d’enfants du sud du monde. Lesquels, une fois installés dans les pays riches, qui ne polluent guère plus que les pays pauvres de nos jours, ne seraient pourtant pas moins consommateurs et pollueurs que les enfants français qui n’auraient pas pu venir au monde.
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Carrément antisocial et totalitaire, l’ancien député de Paris Yves Cochet estime aussi qu’il faudrait « renverser notre politique d’incitation à la natalité en inversant la logique des allocations familiales ». Simplissime : « Plus vous avez d’enfants, plus vos allocations diminuent jusqu’à disparaître à partir de la troisième naissance ! ». Délirant ? Dangereux ? Inquiétant ? Les mots manquent pour qualifier pareilles velléités, au moment où la France traverse sa plus grave crise populaire de l’histoire de sa Vème République.
Des hommes politiques et des intellectuels, assis sur leurs certitudes, demandent donc l’organisation du remplacement des Français par l’immigration de masse comme si de rien n’était. D’autres, tels que les membres du Think Tank Terra Nova de sinistre mémoire, se demandent s’il n’est pas venu le temps d’augmenter de manière importante les droits de succession, afin de compenser les pertes de l’ISF.
#RIC
Flatteurs et séduisants pour le « peuple », ou du moins les groupes qui pensent en être les représentants les plus légitimes, les discours relatifs à la démocratie directe ne devraient pas être pris à la légère ou immédiatement déconsidérés. ???https://t.co/CY32qpVs6p— L'Incorrect (@MagLincorrect) January 2, 2019
Les droits de succession français, qui, rappelons-le, sont déjà parmi les plus lourds de l’Union européenne, et qui s’ajoutent à la plus forte taxation des biens et des revenus au monde tout au long de la vie. Notre pays, du reste, souffre d’une faible mobilité économique et sociale, ce qui pousse les Français à épargner pour transmettre un patrimoine susceptible d’aider leur descendance. L’objectif est clair pour une partie de l’élite politique française qui est entrée en sécession cosmopolite : déshériter les Français.
Après leur avoir ôté leur nation, en bradant sa souveraineté à des machins internationaux qui nous obligent, ils entendent s’attaquer au patrimoine culturel indivis, mais aussi très directement au patrimoine des Français, voire à leur héritage biologique en les contraignant à ne plus se reproduire. Un mécanisme d’une perversité inouïe, inédit dans l’histoire humaine, se met en place.
Les Gilets Jaunes se battent aussi pour récupérer ce qui leur revient de droit, et qui nous revient de droit à tous : notre héritage commun, c’est-à-dire notre nation. Cette lutte les honore et doit être poursuivie jusqu’à son terme, jusqu’à la victoire.
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