Climat, égalité, no borders ! L’écologie s’emballe. La climatologie, cette science complexe, réduite à des propos de café du commerce, suscite des sentences définitives sur « l’avenir de la planète ». Chacun y va de son laïus sur l’état de la banquise ou le niveau des océans. Et les mauvais coucheurs qui ne s’inquiètent pas, toutes affaires cessantes, du réchauffement (oups pardon, du changement) climatique, en battant le pavé ou signant des pétitions, sont des réacs-misogynes-négationnistes-trumpistes (c’est un tout). Les écologistes perdent leur sang-froid dans des psychodrames télévisés. Une militante verte qui n’en revenait pas d’avoir été contredite sur Cnews a lancé une campagne sur les réseaux sociaux : #jesuisfollederage (pourquoi de rage ?) Le politiquement correct a avalé l’écologie. Interdiction de réfléchir, défense de débattre… Il n’en fallait pas plus pour activer la plume de Drieu Godefridi, juriste, docteur en philosophie et brillant essayiste. Dans L’Écologisme, nouveau totalitarisme ? il révèle la dérive autoritaire des Verts. [...] La suite de cet entretien est à retrouver dans le dernier numéro de L'Incorrect et en ligne pour les abonnés.
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