Il fut un temps où le rideau accompagnait notre vie publique et privée. Chaque couronnement nécessitait des draperies, comme chaque victoire, immenses étendues unies ou brodées de chiffres et d’emblèmes, de palmettes et de feuilles, de fleurs et d’abeilles… On habillait les monuments sans les emballer comme Christo ; et les morts bourgeois tendaient les portes de leurs immeubles de tentures noires et argent semées de larmes. Rideau. [...]
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