Ces (parfois très) jeunes femmes ont été plusieurs fois agressées à dix contre une. Notamment par des antifas « féministes » à une manifestation contre les violences faites aux femmes. Un comble ! C’était le 8 mars dernier : armés de battes, les ordures de gauche les ont frappées, poursuivies et forcées à se réfugier longuement dans un bar. Qu’importe : elles sont bien décidées à ne plus se taire ni devant leurs agresseurs, ni devant celles qui ont choisi d’être tacitement complices de leurs bourreaux. Objectif : faire éclater la vérité et libérer la parole des victimes.
Alice a 23 ans. Elle vit dans le centre de Paris, et étudie les ressources humaines. Sa voix s’étrangle parfois lorsqu’elle parle de la rue. Elle a grandi « dans une ville de province bobo plutôt sympa » et vu son quotidien virer progressivement à l’enfer tandis qu’elle devenait une femme, et que concomitamment sa ville paisible se remplissait d’hommes extra-européens. Jeanne a 20 ans, étudie la communication, vit encore chez ses parents, et vient elle aussi d’une ville de province. Julia a 27 ans et est assistante dentaire ; elle a d’ailleurs été menacée de licenciement lorsque son engagement fut mis à jour. Mais puisqu’on vous dit que les progressistes sont féministes ! Éléna a 24 ans, vit à Paris, et travaille dans une galerie d’art ; Mathilda, elle, a 23 ans. [...]
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