Skip to content

« Panopticon » : Samson sans Dalila

Par

Publié le

6 octobre 2025

Partage

« Sa part d’exotisme pour un spectateur occidental est très vite tempérée par le poids du scénario qui ménage un peu trop les rimes comme il faut. » Critique du film « Panopticon » de George Sikharulikdze.
© Panopticon

Les premiers films aiment la jeunesse qui forme le regard. Dans Panopticon, George Sikharulikdze suit Sandro, apprenti footballeur clivé entre son père devenu moine – on est en Géorgie – et sa mère chanteuse d’opéra expatriée à New York. L’étude de caractère ouvre sur celle d’un pays en crise, entre repli sur soi et modernité. Sa part d’exotisme pour un spectateur occidental – notamment sur la place de la religion orthodoxe – est très vite tempérée par le poids du scénario qui ménage un peu trop les rimes comme il faut. […]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

EN KIOSQUE

Découvrez le numéro du mois - 6,90€

Soutenez l’incorrect

faites un don et défiscalisez !

En passant par notre partenaire

Credofunding, vous pouvez obtenir une

réduction d’impôts de 66% du montant de

votre don.

Retrouvez l’incorrect sur les réseaux sociaux

Les autres articles recommandés pour vous​

Restez informé, inscrivez-vous à notre Newsletter

Pin It on Pinterest