En découvrant les propos de saint Matthieu, qui dans son Évangile postulait qu’il serait plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Royaume de Dieu, la majorité des personnes disposant d’une certaine surface financière préfèrent quitter le game : à quoi bon se faire suer à être généreux et altruiste si c’était pour de toute façon finir dans la géhenne, là où il y a des larmes et des grincements de dents ? Autant profiter de la vie, jouir sans entrave et revoter Macron qui n’était pas si pire finalement : le CAC a encore pris 15 points. Et puis comme je le dis souvent, ceux qui ne sont pas contents, ils avaient qu’à reprendre la boîte de leur papa ! Hein ? J’ai pas raison ?
Pauline Jaricot aurait pu être de cette engeance, elle en a d’ailleurs pris le chemin : née en 1799 dans une ville de Lyon ravagée par les bienfaits de la révolution française, elle grandit dans une famille de soyeux, mais pas vraiment côté canuts : chez les Jaricot on a plusieurs usines de soieries qui tournent à plein régime, suffisamment pour offrir à la gamine. un train de vie bourgeois ++. Notre service documentation est en train de se renseigner sur l’existence de rallyes dans la France du XIXe siècle mais voilà, on est plus dans cette thématique : soirées mondaines, robe en soie sauvage, saladiers de punch… nos lecteurs eux-mêmes savent. [...]
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