Vous avez récemment créé une association appelée l’Association de soutien aux lanceurs d’alerte (ASLA). Pouvez-vous nous en expliquer le principe ?
Le but de l’ASLA sera de relayer toutes les censures sur les thématiques d’immigration et d’islamisation notamment. Fort simplement, l’association nous a permis d’être le relais de la première audience devant le Conseil d’État pour la dissolution de Génération Identitaire. Cela a été également le cas quand d’anciens militants identitaires avaient fait une campagne d’affichage pour alerter sur l’élection du maire anciennement fiché S Abdelaziz Hamida à Goussainville. Ces militants avaient subi une menace de perquisition puis un procès. C’est typiquement le genre de chose que nous voulons défendre et qui nous permettent de continuer de nous exprimer sur la répression judiciaire et la censure qu’a subie Génération identitaire. De façon plus globale, l’association ne va pas se limiter à ce profil de lanceurs d’alerte, et aidera tous ceux qui auraient besoin d’une aide juridique sur ces thématiques.
De qui êtes-vous entourée pour lancer ce projet ?
Il y a des anciens militants de Génération identitaire mais pas seulement, nous sommes entourés de juristes et d’avocats.
Vous dites que cette association ne sera pas un « mouvement activiste ». Quels seront alors ses moyens d’action ?
Effectivement, c’est une association qui n’a pas de structure militante à proprement parler. Nous pouvons proposer une aide juridique avec des juristes prêts à nous aider. Il s’agit aussi de donner une aide morale puisqu’avoir une association derrière soi est un véritable soutien. Nous pouvons aussi proposer notre réseau en fonction des besoins des lanceurs d’alerte. Enfin, il peut s’agir d’une aide financière. Le but est également, à l’origine, de communiquer sur les procédures judiciaires de lanceurs d’alerte qui n’auraient pas assez d’écho médiatique. [...]
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