Mako du Japon, une Jasmine moderne
Fille de Fumihito, prince héritier du Japon, la princesse Mako avait tout pour plaire. Discrète, belle et éduquée, elle aurait fait l’honneur et la fierté de son pays. C’était compter sans le jeune Kei Komuro, rencontré à la prestigieuse université chrétienne de Tokyo, qui remporta le cœur de Mako. Scandale dans la maison impériale : ce jeune homme n’a aucun sang noble. Pire, il a les cheveux longs. Le service en charge du protocole leur dénie le Choken no Gi, cérémonie officielle de l’annonce des fiançailles auprès de la famille régnante. Certains japonais manifestent même contre cette union, revendiquant de préserver la tradition. Mais Mako persiste : elle aime profondément Kei, et sa détermination l’emporte. Un compromis émerge : elle épouse sans frasques Kei Komuro le 26 octobre dernier, signant simplement un contrat au tribunal. Pas de banquet, pas de dot impériale pour Mako. On apprécie sa mesure et sa réserve, qui lui ont gagné le respect des médias et une vie de bonheur, en dépit du carcan de traditions nippones. On lui enlèvera quelques points pour sa garde-robe, monotone et ne réussissant pas à la mettre en valeur.
Meghan Markle du Royaume-Uni, la marâtre
À l’inverse de Mako, la roturière américaine divorcée a tout voulu : enlever le Prince Harry à sa famille, se marier en grande pompe et critiquer les traditions de la maison Windsor. Désormais exilée en Californie, elle partage son temps entre rendre son mari dépressif et envoyer des piques à sa belle-mère par caméra interposée. Les médias tendent tous les micros possibles à Meghan : elle en profite pour y exhiber ses tenues qui confondent l’élégance et le prix. Convaincue d’avoir compris sur les plateaux de tournage la manière dont fonctionne le monde, elle assène des leçons d’écologisme et de dénatalité à longueur de tabloïd. Harry, si tu as besoin d’aide, fais-nous un signe. [...]
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