Alors que l’on croyait morts le marxisme et sa dictature du prolétariat, c’est l’hégémonie du marxisme culturel et ses « politiques de l’identité minoritaire victimaire » qui s’invitent désormais dans l’entreprise, via le diktat des minorités, qui depuis 68, gangrènent les universités occidentales, arborant la bannière arc-en-ciel du Rainbow New World – l’arc-en-ciel instrumentalisé du côté de San Francisco par l’idéologie LGBT dès 1978.
Disneyland, l’emblématique parc d’attraction familial, va mal, mais ce n’est pas dû aux effets économiques collatéraux du Covid. L’idéologie issue des « politiques de l’identité minoritaire victimaire », « identity politics » qu’on appelle désormais le « wokisme » en bon français, ravage peu à peu l’esprit familial qui régnait dans ces parcs d’attractions. Plus question de faire mention par exemple de son film de 1946 Song of the South jugé raciste, dans le célèbre manège « Splash Mountain ».
« Pirates des Caraïbes », une attraction mythique bien avant la fameuse série de films, présente dès 1967 dans le parc Disneyland originel, celui de Californie, l'une des dernières supervisées par le maître lui-même, figurait à la quasi-identique, depuis vingt-cinq ans, dans le parc Disneyland de la région parisienne avec cette vente aux enchères de femmes-esclaves, surmontée de la bannière : « Prenez une fille pour épouse ». Elle est désormais remplacée par la vente aux enchères d'objets dérobés par les pirates lors de leurs fameux abordages. Exeunt donc les esclaves sexuelles, conformément à la version récente du blockbuster. [...]
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