Avant d’arriver au sujet formulé dans le titre, il va falloir remonter un petit peu dans le temps, en 2011 plus précisément. En cette charmante année, c’est-à-dire avant l’élection de François Hollande, et avant qu’on ne voie apparaître clairement l’ignoble banquier qui nous sert de président, l’OMS était, elle, déjà bien en place et commençait son travail de propagande politiquement correcte.
Une époque bénie cependant vu d’ici, où les lobbys LGBT n’avait pas encore tout à fait empuanti la nation entière avec des concepts plus farfelus les uns que les autres (même si deux ans après, l’Assemblée votait le mariage pour tous) mais où, malheureusement, la lutte immonde entre les hommes et les femmes que la gauche ne cesse de tenter de nous imposer avec la montée du féminisme était déjà bien présente.
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C’est ainsi, que pour assombrir l’année 2011, l’OMS décidait de pondre le « gender mainstream manual » (GMM) : c’est-à-dire, pour les non-anglophones qui nous lisent (que Dieu vous bénisse), « manuel d’intégration du genre ». Désormais, quand le terme « genre » fait son apparition, l’imagination fait place à la liste des 76 genres et plus que les LGBT ont imposé. [...]
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