« Je suis né le 11 mars 1963. Ce jour-là, mon père a quitté ma mère… Deux enfants, c’était trop pour lui », nous raconte Laurent Firode. Un début façon Émile Zola qui prit pour décor la banlieue sud de Paris. Il est élevé avec son frère aîné à Malakoff par leur mère qui tira […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !




