Il faut avoir entendu un Russe prononcer le nom de Dostoïevski pour comprendre à quel point nos deux pays sont différents. Alors que nous le prononçons doucement mais d’une traite pour ne pas trébucher, Anna Gichkina commence les quatre syllabes avec avec résignation pour les terminer avec révolte. Elle fait honneur à la belle tradition des blondes qui veulent sauver la France. Mais pas avec les armes ou les urnes. Quand on vient du pays de Dostoïevski, comment ne pas être certaine que « la beauté sauvera le monde » ? [...]
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