Juive égyptienne, Gisèle Orebi dite Bat Ye’or (littéralement « fille du fleuve », le Nil) a dû fuir son pays natal après 1956. Ses travaux intellectuels portent sur la notion de dhimmi ainsi que sur Eurabia (2005) néologisme qui renvoie à une fusion consentie euro-arabe. Dans son Autobiographie politique (2017), elle raconte son combat pour restituer aux dhimmis leur histoire.
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