Évoquons Théodore Dablin (1783-1861), un homme qui mérite de retrouver sa place dans notre mémoire. Héritier d’une lignée de serruriers royaux, il trouva dans la quincaillerie parisienne le tremplin d’une fortune qui, tôt assurée, lui laissa tout loisir de se consacrer à ce qu’il aimait vraiment. S’il fut le « premier ami » de Balzac, inspirateur confident de ses premiers pas et discret créancier de ses incorrigibles dettes, c’est surtout dans l’art de collectionner qu’il se révéla. […]
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