Skip to content

Dictature 2.0 : de Big Brother au Soft power

Par

Publié le

28 décembre 2020

Partage

Dans son essai Dictature 2.0, Kai Strittmatter, journaliste du quotidien Süddeutsche Zeitung, décrit une Chine sous surveillance généralisée : celle du Parti communiste chinois, au pouvoir depuis 1949.

La domination du parti sur le peuple s’accentue à travers l’usage des technologies de surveillance numérique. La presse sous contrôle permet de désigner des boucs émissaires qui seront emprisonnés, à l’image du journaliste Wang Xiaolu et des avocats du cabinet Fengriu. Dès 1998, la Chine a lancé le projet « Bouclier doré » : un programme de maîtrise complète d’internet qui permet de censurer le web. L’intelligence artificielle est perçue non seulement comme un vecteur d’évolution économique mais aussi comme un futur instrument de soumission.

Lire aussi : Une nouvelle traduction du Thursday de Chesterton [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

EN KIOSQUE

Découvrez le numéro du mois - 6,90€

Soutenez l’incorrect

faites un don et défiscalisez !

En passant par notre partenaire

Credofunding, vous pouvez obtenir une

réduction d’impôts de 66% du montant de

votre don.

Retrouvez l’incorrect sur les réseaux sociaux

Les autres articles recommandés pour vous​

Restez informé, inscrivez-vous à notre Newsletter

Pin It on Pinterest