Il récuse la pensée de masse, l’abêtissement et l’avilissement du peuple et se lance le défi de psychanalyser les médias: névrose, folie, hystérie, haine. Les foules médiatiques seraient-elles gangrénées jusqu’à la moelle ? Face au pathos imposé et dégoulinant, Gilles-William Goldnadel préfère se livrer avec pudeur à propos de la Shoah et de la place de l’homme juif dans la société.
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