Depuis des années Jean-Luc Giraud peint, inlassable- ment, son propre visage. Ses tableaux, il les appelle avec une certaine malice ses « œuvrettes ». Avec son visage, il se sent très libre et se permet tout. Il le triture, le travestit, l’affuble de bêtes, de plantes, etc. C’est ainsi qu’il prend une dimension universelle et permet de sonder la vérité de l’être, ce visage du peintre visant à représenter l’image d’un « pauvre de nous » parmi nous tous. [...]
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