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La Chronique des Bridgerton : notre critique

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Publié le

9 février 2021

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Dans La Chronique des Bridgerton, le réalisateur Chris Van Dusen réalise le plus gros blackwashing de l’Histoire en peignant l’Angleterre du XIXe. Noirs partout, talent nulle part.
Bridgerton

C’est la série qui fait se pâmer la planète progressiste. La raison : le plus gros blackwashing de l’Histoire. Dans l’Angleterre du XIXe, sous la régence, nombre de nobles anglais sont joués par des acteurs noirs. Au lieu de l’argument selon lequel « seul le jeu d’acteur doit être apprécié », on nous sert une uchronie confondante de niaiserie : une partie de la noblesse britannique est noire car le roi Georges III est tombé amoureux d’une métisse : la princesse Charlotte de Mecklembourg-Strelitz.

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