Quelques années avant les outrances baroques de Baby Cart ou de Zatoichi, une saga cultivait déjà la passion des Japonais pour leurs héros féodaux, celle de Musashi, à la fois philosophe, peintre, bretteur et figure mythique de la voie du sabre. Une série de films à la beauté parfois hiératique, qui installe les canons du genre : lenteur opératique des combats, colorimétrie chatoyante et jeu d’acteur qui tend parfois vers l’abstraction du théâtre no. [...]
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