La grande plaie actuelle du cinéma fantastique, c’est sans doute cette génération de petits malins qui maquillent leurs films d’exploitation avec des ambitions auteurisantes – voir en France les navrants Just Philippot (La Nuée) et Julia Ducournau (Titane). Comme si, aujourd’hui, on n’assumait plus de faire du « genre » sans se doter d’une caution artistique supplémentaire, celle d’un cinéma d’auteur insipide qui ne fait plus bander que les créanciers du CNC. Le réalisateur islandais Valdimar Jóhannsson s’inscrit hélas dans cette tendance. [...]
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