Aujourd’hui je chanterai le risotto, onctueux et parfumé, dans lequel on a fait pleuvoir le nécessaire puis la fantaisie. Je chanterai le risotto car dans ce riz qu’on a nacré avec du gras on va bientôt ajouter tout ce que les lieux recèlent et qu’on avait entassé dans les placards, l’office, la réserve et même le frigo – en prenant soin de ne pas tomber dans la paëlla, aimable mais foutraque façon Porthos, quand le risotto, simple mais exigeant, vous a un petit côté Athos distingué qui sait faire oublier sa distinction. [...]
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