L’Action française, notre plus ancien mouvement politique, fait sa mue et tient le cap.
Il fut un temps où L’Action française se résumait à un journal, qui n’avait jamais été rentable même du temps de Maurras. Le journal avait changé de nom et était devenu L’Action française 2000, bondissant dans le XXIe siècle comme un chevreuil arthritique. Le mouvement s’enorgueillissait d’avoir eu Proust et Lacan comme lecteurs, haut fait trop littéraire. Bref, le mouvement végétait. Oubliées, les années 90 et la Génération Maurras, qui avait essaimé dans les ministères et les rédactions. Les anciens se rencontraient et saluaient l’apparition des petites revues rebelles, qui orbitaient loin du poussiéreux vaisseau amiral. [...]
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