Granier-Deferre fait partie de ces nombreux cinéastes des années 60 que la critique inféodée à la Nouvelle Vague a jugés trop académiques. Il s’agit pourtant d’un excellent faiseur, preuve en est ce beau Paris au Mois d’Août, film invisible pendant des dizaines d’années et enfin sorti de l’oubli par Pathé. Sur une trame classique qui fait autant penser au Billy Wilder de Sept ans de réflexion qu’au cinéma de mœurs italien, Granier-Deferre signe un film très français, avec Aznavour dans un premier rôle tout en nuances.
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