Dieu merci, Philippe Katerine n’est plus. Il ne s’agira donc pas ici de tirer sur une ambulance mais sur un corbillard en partance pour la nécropole des Inrockuptibles où gisent déjà les momies de Vincent Delerm et de la Grande Sophie. Petite starlette de la chanson non-sensique, Katerine a été propulsé en ligne de mire des attentions médiatiques à la fin des années 90, lorsque la France s’inquiétait encore de son exception culturelle et que la musique défendue par la coterie des journalistes de Télérama se devait d’être irrévérencieuse, mais pas trop quand même. [...]
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