Avec l’hiver et la pandémie fleurit avant l’heure une voix solaire que l’on n’avait plus entendue depuis 2009, celle de Linda Maria Baros, où passent, avec sa Nageuse désossée, les remous des Légendes métropolitaines. La poétesse, prix Apollinaire 2007, avec ce cinquième recueil, ingère la ville comme si c’était le monde, et à travers son athanor en tire une quintessence qui, par-delà les turbulences qu’elle affronte, laisse des traînées conjuratrices pour nos corps malmenés. [...]
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