Depuis la gare de Roanne il faut, le temps d’une vingtaine de minutes, parcourir rues désertes, périphéries en bordure d’auto-pont et ronds-points décorés pour rejoindre la destination prévue de notre périple : le village de La Bénisson-Dieu. Au détour d’une intersection, la route invite à préparer l’arrivée : paysage dégagé de beaux vallons humides, vaches, maisons disséminées, l’intervalle d’une forêt enserre enfin la route.
C’est, en contrebas, le faîte du clocher qui annonce le lieu. Ce dimanche matin, le parvis de terre battue présente des visages familiers, des enfants jouent, hommes et femmes discutent. Accolée au parvis Albéric, nous frappons à la porte d’une haute maison de pierre. C’est ici que nous déjeunerons, dans une grande salle commune, laquelle rassemble pour le repas dominical les membres du éco-hameau.
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