Voilà déjà quarante ans que le canadien Guy Maddin hante les marges de la cinéphilie, seul maître à bord d’une œuvre ultra-référentielle, hantée par le cinéma expressionniste, mais qui n’aura jamais vraiment su s’affranchir de ses totems – et reste jusqu’au bout une sorte de cinéma d’étudiant en cinéma, à la fois mal fagoté, potache et terriblement cérémonieux. [...]
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