Maria Goretti, Marietta pour ses proches, est née en 1890 sur la côte Adriatique, près d’Ancône. Cadre de rêve, eaux translucides, la brise dans les pins, mais ce n’est pas exactement cette vie indolente qui l’attend. Sa famille, frappée par la pauvreté, doit déménager plus au nord, dans la campagne au sud de Rome, en coloc avec un veuf et son fils adolescent, un certain Alessandro. Maria, qui vient de perdre son père, s’occupe de la maison. C’est une enfant qui aime le Bon Dieu et que tous ses voisins entourent d’affection, au point de se cotiser pour lui offrir sa robe de première communiante. […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !




