10 - Le déni français
« Cela ne me surprend pas, parce que l'attitude de déni en ce qui concerne les violences policières en France est classique depuis longtemps. »
Monsieur Ndiaye, fort de ses multiples voyages aux États-Unis pour faire état d'une ségrégation heureusement révolue, a peut-être tendance à confondre la situation américaine avec la situation française. Lorsque l'on voit le tapage des affaires Théo, Zecler ou du Pont Neuf dès qu’un policier fait usage de son arme, est-il sage de dire qu'il y a un déni ?
9 - Un discours qui rassemble
« Au fond, quand on lit [Assa Traoré], quand on l’écoute, son discours est rassembleur. J’entends un discours de convergence plutôt qu’un discours de clivage et de séparation, un discours qui réclame l’égalité. »
Nous connaissons tous madame Assa Traoré. Mais si ! Cette femme qui a fait de la mort de son frère une marque de T-shirt. Et bien sachez qu'elle a le soutien de monsieur le ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye qui juge son discours « rassembleur » et qui « réclame l'égalité, plutôt qu'un discours de clivage et de séparation ». Il est vrai que lorsque l'on entend dire que les blancs sont coupables et que la France est une terre raciste, on se sent parfaitement rassemblés. [...]
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