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Station opéra : Le baryton absolu

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Publié le

11 février 2021

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Quand on dit « baryton Verdi », quelques noms légendaires surgissent du passé, pour la plupart italiens : ces Di Luca, Gobbi, Cappuccilli, Bruson et autres Nucci qui ont atteint des sommets dans les grands rôles en clé de fa.
Opéra

Maîtriser la moindre inflexion de la langue de Verdi est essentiel pour une incarnation mémorable, et rarement les « non-natifs » se sont hissés au même rang que ces géants transalpins. Notre époque fait exception. Sans avoir grandi au pays du « bel canto », c’est pourtant Ludovic Tézier qui aujourd’hui détrône toute concurrence dans le sillage de ses aînés. Son étonnante affinité avec la phrase italienne suffirait déjà à justifier l’admiration. Mais le superbe diseur n’en est pas moins un tragédien habité et un musicien des plus raffinés. Voix hors-norme par le velours et le mordant du timbre, le baryton marseillais ne cesse de sonder, à force de travail et de passion, les secrets des héros en clair-obscur sortis de la plume verdienne, dont ce premier récital en studio constitue un témoignage superlatif.

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