On n’attendait plus grand-chose de Tarantino. Après une série de films s’apparentant davantage à de luxueux jouets pour cinéphiles archaïques et le décevant Kill Bill se montraient clairement les limites d’un auteur bombardé « culte » un peu trop vite : une dévotion maniaque pour des idoles du cinéma populaire et une violence crétine conçue à la fois comme un théâtre du refoulé et comme un moyen de résoudre des intrigues-prétextes à peu de frais ne méritait pas une telle distinction. Once Upon a Time in Hollywood… s’attaque cependant à une mythologie plus proche de nous et dont Tarantino, fils de L.A, est lui-même issu : le massacre commis par Charles Manson en 1969. L’heure de la sincérité et de la repentance a-t-elle sonné ? Nos deux chroniqueurs en débattent. Stéphanie-Lucie Mathern et Marc Obregon en débatent. [...]
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