C'est un peu hagarde, comme estourbie, que je contemple l’affiche. Sur un fond vaguement végétal, un King Kong mécanique regarde, courroucé, le pauvre humain que vous êtes. La bestiole est surplombée par un gigantesque robot tandis que se détache sur l’azur du ciel un aigle que l’on devine robotique. Et par-dessus tout ce bordel un vaisseau alien, doté d’une troublante ouverture, laisse s’écouler une non moins étonnante lumière dorée tandis qu’un couple d’abrutis trône au premier plan comme s’ils s’apprêtaient à faire la couverture d’un catalogue de voyage Thomas Cook. [...]
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