Un sujet rare et casse-gueule : l’amour indéfectible que porte un adolescent à sa mère célibataire. Malheureusement plus célibataire pour longtemps : en s’amourachant, la mère casse trop vite ce lien qui paraissait incorruptible, et l’enfant unique ne tarde pas à sombrer dans les tourments d’une folie prédatrice et justicière. Premier long métrage d’un jeune réalisateur mexicain prometteur, Summer White est un portrait intimiste et sauvage où l’on peut lire en filigrane toute la violence secrète d’un pays qui semble parfois incapable d’émancipation.
Lire aussi : Ran : notre critique [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !