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Il y a cinquante ans, suite à la démission du Général de Gaulle, Georges Pompidou devenait le deuxième Président de la Ve République Française et le premier d’une lignée de dirigeants qui, par lâcheté, par faiblesse, par aveuglement, par manque de ces qualités qui font les grands hommes d’Etat, ont conduit des politiques qui, au regard de l’Histoire, ne peuvent s’apparenter qu’à de la trahison.
Afin de satisfaire les intérêts capitalistes, Pompidou, ouvrit ainsi la voie à une immigration de travail massive. La soumission des dirigeants politiques aux intérêts des dirigeants économiques s’incarne dans la personne de Francis Bouygues, qui se targuait d’embaucher 80% de travailleurs étrangers dans son entreprise et plaidait vigoureusement pour qu’ils puissent faire venir leurs familles et se fixer en France. En effet, les droits sociaux acquis par les travailleurs français depuis la Libération devenaient trop handicapants aux yeux du patronat pour “rester compétitifs”. Dès 1970 pourtant, Pompidou constatait les effets désastreux de la cohabitation des communautés étrangères et autochtones. En 1973 encore il déplorait le fait que les grands patrons « en veulent toujours plus ». Il a pourtant permis la mise en place des mécanismes qui allaient déboucher sur l’immigration de masse.
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Le ralentissement brutal de l’économie française à la fin des Trente Glorieuses aurait dû conduire les gouvernements à cesser l’immigration : il était encore temps. Au lieu de quoi, Valéry Giscard d’Estaing s’empressa, à peine élu, de mettre en place le regroupement familial, ainsi que le souhaitaient les grands patrons, tels Francis Bouygues. Il tentera de se justifier par la suite en expliquant avoir cédé à une demande de Simone Veil, alors ministre et symbole de la déportation des juifs durant la guerre. En 1991 il déclarera que l’immigration à laquelle la France est confrontée s’apparente à une invasion. Trop tard…
« Les immigrés sont en France chez eux et qui tient un autre raisonnement tient un raisonnement de la haine et de la ségrégation raciste »
Arrivant au pouvoir, François Mitterrand amplifie très rapidement le processus migratoire par des mesures telles que la régularisation immédiate de 130.000 clandestins et l’assouplissement des conditions de séjour des immigrés. « Les immigrés sont en France chez eux et qui tient un autre raisonnement tient un raisonnement de la haine et de la ségrégation raciste » disait-il en 1985, érigeant ainsi la trahison en doctrine philosophique, avant de déclarer, hilare, en 1987, que nous sommes déjà un peu arabes. Les flux migratoires continuent et s’accroissent, au milieu des fêtes subventionnées de Sos Racisme et des polémiques autour des déclarations de Jean-Marie Le Pen.
« Plus on aura d’immigration, plus on aura d’insécurité. Ce n’est pas une question ethnique mais notre immigration est une immigration bas de gamme. On va vers de graves conflits raciaux qui seront la conséquence du refus des Français d’être envahis par d’autres cultures. Toute race a l’instinct de se préserver »
Jacques Chirac arrive au pouvoir en 1995. Alors qu’il déclarait, en 1990, que « Plus on aura d’immigration, plus on aura d’insécurité. Ce n’est pas une question ethnique mais notre immigration est une immigration bas de gamme. On va vers de graves conflits raciaux qui seront la conséquence du refus des Français d’être envahis par d’autres cultures. Toute race a l’instinct de se préserver » la prise de l’Elysée lui fit perdre le souvenir de cette saillante analyse. Il occupera ses 12 ans de mandats à accentuer encore davantage les politiques migratoires : la célébration de la victoire black-blanc-beur en coupe du monde 1998 constituera le sommet symbolique de sa présidence immigrationniste, tandis que les trois semaines d’émeutes des banlieues en 2005 seront, elles, oubliées. C’est ainsi que ce Roi-fainéant méritera l’hommage que les médias viennent de lui rendre à sa mort en 2019.
« Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable »
Nicolas Sarkozy en 2007 promettait de nettoyer la racaille au karcher. Le peuple ne voulait pas élire Le Pen mais avait choisi Sarkozy pour faire le travail à sa place, Sarkozy qui déclarait à Philippe de Villiers en 2008 « Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable ». Comme Chirac avant lui, Sarkozy a fait l’inverse de ce que ses électeurs attendaient. Il va jusqu’à déclarer en 2010 vouloir imposer des méthodes contraignantes à la République Française pour « relever le défi du métissage ». Sous sa présidence, le nombre d’immigrés qui se sont installés légalement en France a atteint un record. Mais les records sont faits pour être battus.
Dans son livre d’entretien « Un Président ne devrait pas dire ça », Hollande déclare pourtant en 2016 qu’ « il y a trop d’immigration qui ne devrait pas être là ».
En 2012, durant le débat d’entre deux tours, François Hollande défie Sarkozy en lui lançant cette question piège : « (si vous prétendez) qu’il y a trop d’immigrés en France c’est donc qu’il faut en renvoyer ». Sarkozy n’assume pas, biaise, fuit et perd. Sous la présidence Hollande, le nombre des installations d’immigrés augmente encore. Dans son livre d’entretiens « Un Président ne devrait pas dire ça », Hollande déclare pourtant en 2016 qu’ « il y a trop d’immigration qui ne devrait pas être là ». Et fustige la “lâcheté de l’institution judiciaire”. Pire encore, ce qui démontre bien le mélange de veulerie et de lâcheté politique et intellectuelle de cette caste dirigeante, il admet textuellement que le pays dont il a la charge se dirige droit vers la partition communautaire et que celle-ci est renforcée par les flux migratoires exponentiels. Hollande sait et laisse faire.
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Emmanuel Macron, prince charmant du système libéral-libertaire, assumera lui, d’emblée, son immigrationnisme. Pendant sa campagne il déclare qu’il n’existe pas de culture française et que la France s’est rendue coupable de crimes contre l’humanité. Dans son discours de Marseille, il s’adresse « Aux Comoriens, aux Algériens, aux Marocains, aux Tunisiens… » qui voteront malgré tout pour lui en qualité de citoyens français. Durant sa première grande interview de Président, face à Edwy Plenel et Jean-Jacques Bourdin, ce même Emmanuel Macron a l’outrecuidance de conseiller la lecture du livre de Stephen Smith “La ruée vers l’Europe” qui décrit tout simplement la jeune Afrique “En Marche” vers la vieille Europe. L’immigration est “une chance”, les réfugiés (clandestins) sont “une force”. Et les coups de couteaux…quotidiens.
Le Grand Remplacement démographique qui selon toute vraisemblance signera bientôt la fin de l’Histoire de France est En Marche.
Accompagnée des attentats islamistes, des communautarismes qui s’enracinent , de l’insécurité et des incivilités, l’invasion migratoire se poursuit, sous la houlette des Présidents de la Ve République et de leurs sbires. Le Grand Remplacement démographique qui selon toute vraisemblance signera bientôt la fin de l’Histoire de France est En Marche. Les Français sont gouvernés par des traîtres. Des traîtres qu’ils ont élus…
Romain Sens
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