C’est une histoire comme il en arrive des centaines en France. Jusqu’à il y a peu de temps, on les gardait pour soi – en particulier lorsqu’elles contrevenaient à une certaine idée du « vivre-ensemble ». « C’était un homme d’une cinquantaine d’années, commence Amélie* avant de faire une pause – elle nous prévient en avance qu’elle aurait du mal à parler d’une traite. J’avais huit ans. À cet âge-là, on n’a pas beaucoup de recul. Un homme qui devait avoir plus de 40 ans a gagné ma confiance en peu de temps à la sortie de mon école et m’a proposé de le suivre dans un endroit isolé à quelques mètres, avant de me violer en pleine rue. Je vous épargnerai les détails… D’ailleurs je ne me souviens pas de tout puisque j’ai subi une amnésie post-traumatique. Toutes les années qui ont suivi, j’ai vécu comme un fantôme, jusqu’à ce que le souvenir remonte peu à peu, jusqu’à ce que je trouve la force d’en parler à mes proches. » Amélie par pudeur ne précise pas de quelle origine exacte était son agresseur, elle précisera juste qu’il était « étranger ».
Faits divers contre faits de société
Des « étrangers » qui agressent des jeunes filles, c’est une réalité qui a été passée sous silence pendant des décennies, bien avant le raz-de-marée #MeToo. Ces derniers mois, les faits divers s’accumulent de façon exponentielle, suscitant rarement autre chose que des entrefilets dans les médias.
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Une simple recension des « incidents » survenus pendant le mois de janvier 2025 suffit à donner froid dans le dos. Ainsi Tamer K., un Égyptien de 44 ans en situation illégale, vient d’écoper de cinq ans de prison assortis d’une interdiction définitive du territoire français après avoir agressé sexuellement six femmes entre 2010 et 2024. À Toulouse, c’est un adolescent de 15 ans qui vient d’être arrêté par la police pour des faits d’agression entre fin août et début janvier. À Marseille, le 21 janvier dernier, Icham et Mohamed, deux Algériens en situation irrégulière dont l’un séropositif, se sont vus infliger 20 ans de prison pour avoir violé Sophie sous les yeux de son compagnon Arnaud à qui ils ont mis un couteau sous la gorge. Quelques jours plus tôt à Créteil, un Algérien sous OQTF est jugé pour une tentative de viol sur une magistrate du même tribunal. À Paris, le dimanche 12 janvier, une jeune femme de 28 ans s’est fait violer rue Cardinet (75017) par trois hommes de type nord-africain. À Nantes, cinq jours plus tôt, une joggeuse de 58 ans a réussi à faire fuir, aidée par des passants, un migrant somalien qui tentait de la violer en pleine rue. À Cannes, c’est un Géorgien arrivé en France depuis à peine un mois qui a arraché les vêtements d’une femme et tenté de la violer en pleine rue, sous le regard des passants. À Paris encore, c’est un sans-papiers soudanais détenteur illégalement d’une licence Uber qui a agressé une touriste pendant une course… Un modus operandi désormais bien connu des forces de police puisque de nombreux « migrants » sous-louent des licences Uber à leurs propriétaires : « On observe de plus en plus de cas similaires, observe une source policière. Récemment, j’ai eu affaire à un vrai-faux livreur Uber Eat qui a violé une cliente chez elle. Le coup classique : ils sonnent et au lieu de vous livrer une pizza, ils mettent le pied dans la porte pour s’introduire chez vous… »
Les chiffres
77 % : C’est la part d’étrangers mis en cause pour des viols commis dans la rue en 2023 à Paris alors qu’ils ne représentaient que 14 % de la population parisienne.
28 % : C’est la part d’étrangers mis en cause pour violences sexuelles en 2023 en Île-de-France (hors transports en commun) alors qu’ils ne représentent que 14 % de la population francilienne.
2,5 : En France, le taux de mis en cause pour violences sexuelles des étrangers africains est 2,5 fois supérieur à celui des Français selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.
60 % : C’est la part d’étrangers mis en cause pour violences sexuelles en 2023 dans les transports en commun en Île-de-France, alors qu’ils ne représentent que 14 % de la population francilienne.
2 : La France est le deuxième pays d’Europe en matière de croissance du taux de violences sexuelles constatées dans les données policières depuis 2013. La hausse est 4 fois plus élevée en France qu’en Italie et 5,5 fois plus qu’en Allemagne.
13 % : C’est la part d’étrangers mis en cause mis en cause pour des violences sexuelles en France en 2023 alors qu’ils ne représentaient que 8 % de la population.
16 % : Les quartiers dits de « reconquête prioritaire » ont connu une hausse des violences sexuelles, deux fois plus importante que dans les autres territoires entre 2022 et 2023. C’est + 16 % dans les quartiers de « reconquête prioritaire », + 13 % dans les quartiers prioritaires et + 8 % dans la France entière. Marc Vanguard
Ainsi, si le nombre de plaintes pour agressions sexuelles est logiquement en hausse depuis le mouvement #MeToo, survenu en 2017, la hausse constatée l’est bien avant cette date puisque les violences sexuelles ont quadruplé depuis 1996 selon le bilan statistique publié par le ministère de l’Intérieur en 2023. Un chiffre qui explose dans les fameux quartiers de reconquête républicaine (QRR), des quartiers prioritaires où la hausse des violences sexuelles est 1,6 fois plus importante que dans les autres territoires (source : ministère de l’Intérieur). Une réalité à laquelle la population locale semble s’être tristement accoutumée, comme en témoigne Aïcha*, 27 ans : « J’ai grandi dans le 92/93, entourée de joyeuses cités et des transports en commun qui vont avec », confie-t-elle ironiquement. Avant d’ajouter : « Dans mon cas, 90 % du temps où j’ai été importunée dans les transports ou dans la rue, les auteurs des faits sont d’origine étrangère. Je n’ai aucun mal à le dire, car je suis d’origine marocaine et musulmane. » Comment l’explique-t-elle ? Elle répond : « Déjà, la différence de culture. Mais étonnamment, quand j’allais au bled étant petite, le climat n’était pas du tout le même. Les hommes se comportaient beaucoup mieux puisqu’ils craignaient la condamnation judiciaire. En France, c’est l’impunité qui règne. »
Le retour du viol comme arme politique
Les chiffres sont effrayants : en 2023, la part d’étrangers (c’est-à-dire ceux qui n’ont pas de papier français, les bi-nationaux par exemple sont exclus) mis en cause pour des violences sexuelles en France en 2023 atteint 16 %, alors qu’ils ne représentaient que 8 % de la population. En Île-de-France, ils représentent 60 % des mises en cause dans les violences sexuelles dans les transports en commun. Mais quid des non-étrangers ? Si les langues se délient, un tabou subsiste : celui de l’origine des agresseurs. Ainsi la sinistre affaire Pélicot a mis en exergue une certaine duplicité des médias et du tissu associatif lorsqu’il s’agit de traiter les violences sexuelles. Pour ces défenseurs du vivre-ensemble, il est toujours plus facile de sombrer dans des accusations « essentialistes » du type « tous les hommes sont des violeurs » lorsqu’aucune donnée ethnique n’est apparemment en jeu. Ce genre de mantra punitif et castrateur, typique des éléments de langage néo-féministe, est conçu de fait pour éluder certaines caractéristiques récurrentes dans les profils d’agresseur.
Si l’on regarde chez nos voisins moins pudiques sur les statistiques ethniques, les chiffres sont sans appel
Si toute la presse française s’est emparée avec gourmandise des cas d’agressions sexuelles issus de la communauté pakistanaise en ce début d’année, c’est peut-être aussi pour cacher un malaise bien français que l’interdiction de statistiques ethniques empêche volontiers de regarder en face. Une interdiction qui est l’héritage d’un universalisme républicain mal adapté à notre modernité cosmopolite. Si l’on regarde chez nos voisins moins pudiques sur les statistiques ethniques, les chiffres sont sans appel : aux Pays-Bas, les immigrés et descendants d’immigrés « non-occidentaux » sont quatre fois plus impliqués dans les crimes et délits sexuels que les Néerlandais autochtones. Quant au Danemark, les habitants d’origine africaine y sont proportionnellement dix fois plus condamnés pour viols que les Danois autochtones.
Pourtant, en France, les témoignages s’accumulent – et pas uniquement chez les jeunes femmes déjà converties aux inspirations les plus droitières. Il y a bien en France un profil d’agresseur sexuel racisé, qui ne viole pas tant par lubricité que par revanche raciale. Il y a bien cette idée qui existe dans certaines communautés d’une « blanche » qu’il faut souiller, humilier, frapper pour prendre sa revanche sur les colonisateurs. La haine raciale qui rejaillit sur les femmes françaises est instruite ainsi par une cause politique, sensible notamment chez certains individus d’origine maghrébine. Début janvier, plusieurs influenceurs ont ainsi été condamnés pour des incitations à la violence, et notamment pour avoir appelé à « violer des Françaises ». Nous sommes ici aux origines du viol comme arme politique, et il s’agit bien d’une seule chose : venger les « crimes de la colonisation ». En 2018, une jeune femme qui sort de la gare d’Évry-Courcouronnes est sauvagement agressée et violée, sur fond de racisme anti-français. Âgé de 17 ans au moment des faits, le principal agresseur a écopé de la peine maximale (trente ans) – car depuis 2016, les mineurs ne peuvent plus être condamnés à la perpétuité. Fait notable, ce fait divers à la violence inouïe sera finalement peu relayé par les médias – à part dans quelques articles factuels où les prénoms des mis en cause sont soigneusement francisés, on parle alors de « Bob » et de « Lionel »… Une peine exemplaire qui fait date dans un océan de mains courantes et de plaintes qui n’aboutissent jamais, alors que les forces de police et la magistrature semblent s’être habituées, par la force des choses, au fameux « djihadisme d’atmosphère ».
Chez nos voisins
Aux Pays-Bas, les immigrés et descendants d’immigrés « non-occidentaux » sont quatre fois plus impliqués dans les crimes et délits sexuels que les Néerlandais autochtones.
Au Danemark, les habitants d’origine africaine sont proportionnellement dix fois plus condamnés pour viols que les Danois autochtones.
En Suisse, le taux de condamnation des étrangers pour viol est trois fois supérieur à celui des Suisses.
En Allemagne, le taux de condamnation des étrangers pour viol est huit fois supérieur à celui des Allemands.
En Italie, les Africains sont proportionnellement quatorze fois plus impliqués que les Italiens dans les violences sexuelles. Marc Vanguard
Sur les réseaux sociaux, une défiance s’installe dans les communautés musulmanes ; notamment chez les très jeunes, vis-à-vis des « gwers » (comprendre : des blancs) et notamment des blanches qui seraient trop provoquantes ou trop sexuées vis-à-vis des règles coraniques. Des vidéos partagées sur TikTok où des hommes musulmans sermonnent violemment leurs femmes font des millions de vues et sont encouragées sur le mode du : « Les femmes doivent apprendre le respect. » Un climat qui achève d’élargir la fracture culturelle et qui condamne à terme le respect de l’altérité, en particulier chez les adolescents, qui trouvent refuge dans ce comportement. « Il y a une vraie fascination pour l’islam chez beaucoup de collégiens, confirme Karine*, professeure d’anglais qui exerce en banlieue parisienne. Et pour les mauvaises raisons : dans une société considérée comme de plus en plus permissive, certains jeunes trouvent presque romantique de mettre en place de nouveaux interdits. Sauf qu’ici ils sont plaqués arbitrairement sur un dogme religieux et qu’ils servent de prétexte à des actes de harcèlement scolaire parfois gravissimes. » C’est la raison pour laquelle les cas d’agressions sexuelles chez les mineurs connaissent une redoutable augmentation, tout en étant majoritairement imputables à des communautés religieuses non-chrétiennes, comme le déplorent à mot couvert de nombreux fonctionnaires de l’Éducation nationale et comme le montre la baisse significative de ce type de criminalité pendant la période du Ramadan (-17 % selon le ministère de l’Intérieur en 2022).
L’exception culturelle
Si la pratique des « tournantes », médiatisées à partir des années 2000, est une spécialité des banlieues, c’est à la fois pour des raisons de topographie, de culture et de « tribalité ». « La plupart des communautés qui coexistent tant bien que mal dans certaines cités et se déchargent de cette pression avec ce genre de rites, qui tout en réhabilitant la soumission primitive des femmes, ont des vertus quasiment purgatives, estime la même professeure, qui a également travaillé dans une association d’aide aux victimes. Il s’agit, presque toujours, de désigner à la fois un bouc émissaire et de pointer une “crasseuse”, terme à la mode pour désigner des jeunes filles soi-disant de mauvaise vertu. » La prostitution de cité est ainsi devenue une pratique courante avec la création de ce que les proxénètes en herbe appellent ironiquement des « hôtels » – en réalité des chambres insalubres simplement munies de matelas, et où ils font défiler les « tana » (comprendre : les prostituées), en réalité des adolescentes asservies par le chantage. Bien sûr, si elle est blanche, les clients se pressent par dizaines, comme l’avouent eux-mêmes des petits caïds qui se vantent dans une vidéo publiée sur X.
« Il s’agit presque systématiquement d’agresseurs de type maghrébins ou indopakistanais »
Comble d’horreur, des avocats de la défense usent de la « différence culturelle » pour justifier le manque de jugement de leur client vis-à-vis du consentement, comme ce Bangladais arrêté pour le viol d’une lycéenne de 15 ans. Au procès, l’avocate de la défense a invoqué des « difficultés d’interprétation de son client » qui « n’avait pas les codes culturels » pour prendre conscience de son acte. On retrouve cette magnanimité confondante pour les étrangers, ces pauvres déracinés inconscients de leurs actes ou taxés bien précipitamment de « fous » pour leur épargner la prison.
Agresseurs récidivistes et plaintes non-reçues
En 2023, sur les 97 viols connus et commis dans les rues de Paris, 36 personnes ont été interpellées. Parmi eux, 28 sont de nationalité étrangère, soit 77 % des mis en cause, selon des chiffres recensés par la préfecture de police de Paris. « Cette augmentation est d’abord due à la libération de la parole, reconnaît une source policière. En revanche, si on distingue bien deux types d’agression – celles qui incriminent des personnes déjà connues par la victime et celles qui incriminent des personnes inconnues – ce dernier type a bien connu une augmentation drastique que j’ai pu observer sur le terrain. Là, on est généralement sur du migrant, des gens qui n’ont pas la même culture, ou la même considération des femmes que l’Occident. À titre d’exemple, il suffit de voir ce qui se passe tous les jours sur le Champ-de-Mars, un des endroits de Paris où les femmes – le plus souvent des touristes – se font le plus agresser. Il s’agit presque systématiquement d’agresseurs de type maghrébins ou indo-pakistanais. Là il s’agit également d’un socio-type bien précis, puisque nous ne sommes pas sur des prédateurs sexuels isolés qui préméditent leur acte, mais plutôt sur des actes collectifs, suscités souvent par une simple opportunité. »
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Un constat partagé par la plupart des policiers et qui aboutit malheureusement au même résultat : l’impossibilité à engager des poursuites. D’où une augmentation significative des récidives, comme le signale une source policière en Essonne : « Ce sont souvent les mêmes personnes suspectées de ce genre d’agissements qui reviennent, car faute de dossiers solides, ils sont la plupart du temps relâchés par la justice. Notre travail est donc de mener ce double front : intervenir pour les interpeller et faire en sorte que leurs dossiers soient les plus complets possibles. » Mayliss*, une autre victime, déplore également ce qu’elle considère comme un effet systémique de ce socio-type : « J’ai été agressée plusieurs fois, et ce dès le collège. » À chaque fois, on l’a dissuadé de porter plainte, faute de preuves tangibles – notamment de vidéos. « On nous explique souvent également que pour justifier une agression sexuelle, il faut avoir des traces de coups. Je ne dis pas que la police refuse de faire son travail, mais on sent qu’elle est sous pression, qu’elle marche sur des œufs et qu’elle a des consignes parfois contradictoires sur ce genre d’affaire. »
La situation est-elle sans espoir ? Jeudi 23 janvier, Bruno Retailleau semblait bien décidé à prendre le sujet en main en adoubant le collectif Némésis, la seule association féministe qui refuse de ne pas voir. Malheureusement, quelques heures plus tard, le ministre de l’Intérieur fidèle à la tradition de la droite dite républicaine et fortement incité par Valérie Pécresse, rectifia courageusement son soutien : « J’ai vu après que c’était une association qui avait des positions très radicales, qui avait très brutalement attaqué Valérie Pécresse et je ne me sens pas du tout proche de cette association » déclara-t-il au micro de Sonia Mabrouk. Raté.
* Tous les prénoms ont été modifiés.
Les bonnes et les mauvaises victimes
Les associations néo-féministes sont presque toujours issues d’un socle idéologique historiquement favorable à l’immigration et à la diversité. Entre l’intégrité de la femme et le fantasme hybridiste, la créolité vendue par les modernes pour justifier leur obsession antinationale, pas évident de voir la vérité des chiffres en face. À chaque drame, sa victime. Seulement est-elle la bonne pour les associations féministes ? Philippine Le Noir de Carlan, assassinée au bois de Boulogne le 20 septembre dernier, ne l’a pas été. Le collectif Osez le féminisme, fort de ses 57 000 abonnés sur X, n’aura fait qu’un tweet quatre jours après le meurtre. Deux hashtags et un smiley. Sur l’affaire Depardieu, dont le procès est en cours, le community manager a dû retrouver les codes de son compte, c’est près de dix-sept tweets en un an qui ont été publiés.
L’icône de la gauche féministe Sandrine Rousseau a publié deux fois sur la condamnation du réalisateur Nicolas Bedos pour son bisou dans le cou non consenti. Pour Philippine, si la députée exige des sanctions sévères à l’encontre du meurtrier, elle consacre la plupart de ses caractères à la lutte contre l’extrême droite qui « va tenter d’en profiter pour répondre sa haine raciste et xénophobe ». Rebelote sur France Inter où elle condamnait « cette espèce de fantasme du viol » commis « dans la rue par des personnes qui seraient étrangères ».
Même son de cloche au PCF où une obscure responsable de la commission droits des femmes et féminisme Shirley Wirden publie une tribune dans L’Humanité dont le titre est évocateur : « Être féministe face aux charognards », écrivant que « les féministes, contrairement aux charognards qui défilent sur CNews, ne réagissent pas en fonction du profil du coupable. Parce que nous ne savons pas “qui” mais “ce qui” est à l’origine des violences. » Nous, humbles contemporains, savons non seulement qui est en cause, mais aussi ce qui l’est : un manque cruel d’éducation et une civilisation incapable de s’élever au-delà de comportements sauvages. Wandrille de Guerpel