Pour la commodité de l’exercice, nous avons regroupés les dépenses en trois familles.
La première concerne les groupes de pression de gauche. Nous parlons des associations. Elles se rangent dans deux catégories : les têtes de réseau du type SOS Racisme ou LICRA, ou leurs déclinaisons locales (SOS Racisme Poitiers, LICRA Tours, LGBT Bordeaux, etc), qui forment une myriade d’associations. Cette nébuleuse dépense au total 973 millions d’euros d’argent public par an, sous forme de subventions ou de défiscalisation. Tout le monde paye pour elle. Les villes de plus 30 000 et 100 000 habitants lui allouent 600 millions. Leur nombre est tel (sans doute 1% de toutes les associations françaises) que l’État leur verse une somme estimée par L’Incorrect à 340 millions au moins.
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La deuxième famille est plus importante. Elle regroupe des corps constitués déviés de leur mission première et qui se sont mis à promouvoir des thèses de gauche, ou qui ont été carrément inventés pour les diffuser. La liste des dévoyés compte les syndicats, les médias, le cinéma, etc. Parmi les monstres d’État dédiés au service des idées de gauche, on compte la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), le Haut Conseil à l’égalité (HCE), et autres Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Le tout représente la somme inouïe de 6,8 milliards d’euros d’argent public dépensés tous les ans pour les idées de gauche. Notez bien que l’équivalent existe dans tous les pays d’Occident qui comptent grosso-modo 800 millions d’habitants. Ces idées de gauche forment donc un marché mondial qui doit représenter dans les 80 milliards d’euros sur la planète, soit une fois et demie le marché mondial des jeans. De quoi alimenter des milliers de lobbyistes. [...]
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