Léo Taxil, Prince de la galéjade 
Qualifié par l’immense Léon Bloy de « raclure de dépotoir au nom de poudre à lessive », Gabriel Antoine Jogand-Pagès, plus connu sous le pseudonyme de Léo Taxil, fut sans doute l’un des plus grands génies de la mystification.
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Né à Marseille en 1854, il commence sa carrière en écrivant dans des publications anticléricales et fait un bref passage au Grand Orient avant d’en être exclu. Après une conversion au catholicisme savamment orchestrée, il se lance à partir de 1885 dans une série de révélations scabreuses sur un prétendu culte luciférien au sein des « frères trois points ». Pour être plus crédible, il s’appuie sur les témoignages de personnages imaginaires comme la prêtresse luciférienne américaine Diana Vaughan.
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