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Fort avec les faibles. Faible avec les forts. C’est ainsi qu’on pourrait résumer la tactique politique du « kéké de la République », le joueur de poker de Forcalquier Christophe Castaner. En deux jours à peine, il a craché au visage du droit comme à celui des policiers, qu’il avait pourtant choyés quand ils servaient de remparts au pouvoir. Si la bêtise est universellement partagée, faisant fi de l’ethnie comme du milieu, il semblerait que Christophe Castaner en ait pris une part plus généreuse que la moyenne.
Christophe Castaner a cédé. Avec lui, c’est la République qui a cédé. Plus que cela, c’est la raison qui a cédé face aux forces délirantes qui s’agitent en ce moment. Un mouvement contre le système est né aux Etats-Unis ; appuyé par rien de moins que George Bush Jr, Mitt Romney, Colin Powell, Gillette, Justin Trudeau, Nike, Hollywood, Netflix ou encore une bonne partie du monde de la finance.…