Vous avez participé au contre-sommet de l’IA organisé par Éric Sadin, en défendant notamment votre profession, celle de producteur de musique. En quoi estimez-vous que l’IA menace cette industrie ?
L’initiative d’Éric Sadin avec le soutien d’Éric Barbier et du Syndicat national des journalistes était destinée à exposer les conséquences pratiques, dès à présent, de l’IA dans des domaines aussi divers que l’enseignement, l’information, le travail ou l’environnement. En musique, l’IA générative amplifie à échelle industrielle le pire déjà à l’œuvre : l’inflation de contenus, la fausse perfection, l’obsession statistique, la dévalorisation et l’ubérisation de la musique, sa désinstrumentalisation, sa déshumanisation, et la primauté du choisisseur sur le créateur. [...]
L’initiative d’Éric Sadin avec le soutien d’Éric Barbier et du Syndicat national des journalistes était destinée à exposer les conséquences pratiques, dès à présent, de l’IA dans des domaines aussi divers que l’enseignement, l’information, le travail ou l’environnement. En musique, l’IA générative amplifie à échelle industrielle le pire déjà à l’œuvre : l’inflation de contenus, la fausse perfection, l’obsession statistique, la dévalorisation et l’ubérisation de la musique, sa désinstrumentalisation, sa déshumanisation, et la primauté du choisisseur sur le créateur. [...]
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