Qu’est-ce qui vous a conduit à vous pencher sur ce sujet ?
J’avais été marqué par l’histoire des grooming gangs dès 2014, quand le rapport Jay est sorti. J’ai découvert ça en lisant la presse dans la cuisine de ma grand-mère en Cornouailles. J’étais horrifié. C’était un crime d’une telle ampleur. Puis avec le temps, les médias se sont désintéressés. En 2021, avec Charlie Peters, nous avons voulu rouvrir le dossier. Manifestement, les horreurs continuaient. On a épluché les rapports d’enquête et les livres publiés par les lanceurs d’alerte qui, curieusement, avaient été chroniqués comme relevant d’un sous-genre de misery-memoir, comme s’ils étaient des livres-confessions traumatiques. L’ouvrage de l’inspectrice Maggie Oliver tout comme celui de Jayne Senior, directrice de Risky Business, une association d’aide aux enfants en difficulté à Rotherham, contenaient des révélations inouïes. [...]
J’avais été marqué par l’histoire des grooming gangs dès 2014, quand le rapport Jay est sorti. J’ai découvert ça en lisant la presse dans la cuisine de ma grand-mère en Cornouailles. J’étais horrifié. C’était un crime d’une telle ampleur. Puis avec le temps, les médias se sont désintéressés. En 2021, avec Charlie Peters, nous avons voulu rouvrir le dossier. Manifestement, les horreurs continuaient. On a épluché les rapports d’enquête et les livres publiés par les lanceurs d’alerte qui, curieusement, avaient été chroniqués comme relevant d’un sous-genre de misery-memoir, comme s’ils étaient des livres-confessions traumatiques. L’ouvrage de l’inspectrice Maggie Oliver tout comme celui de Jayne Senior, directrice de Risky Business, une association d’aide aux enfants en difficulté à Rotherham, contenaient des révélations inouïes. [...]
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