Précisons d’abord que le mot est français, mais qu’il vient de l’anglais, mais qui l’avait emprunté au français ; bref, un vintage (à prononcer comme ça s’écrit), c’est une vendange, et avons-nous vraiment besoin des Anglais pour parler du vin, même quand il s’agit de portos ou de champagnes millésimés ? Mais le vintage (prononcez « vinetaidje »), c’est autre chose, c’est du vieux chic, du vieux griffé, siglé, signé, estampillé, répertorié – du vieux pas trop vieux, d’ailleurs, entre trente et soixante ans, un état intermédiaire entre le démodé et l’antique. [...]
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