Dans un essai à la liberté de ton réjouissante, le philosophe François Azouvi règle son compte à l’une des facilités discursives les plus en vogue : la responsabilité de la culture chrétienne dans l’avènement d’une société lacrymale, où le bénéfice matériel du repentir public fait l’objet d’une lutte rivale entre victimes [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !