La violence masculine et sa transmission hantent le cinéma de Jacques Audiard. Tout comme les familles recomposées qui, dans, prenaient la forme d’une colocation pansexuelle multiraciale – ou à peu près. L’âge aidant, la soif de genres semble animer Audiard qui après le western (Les Frères Sisters) investit la comédie musicale, avec la prise de risque supplémentaire d’un idiome qu’il ne maîtrise pas : l’espagnol. Trois films, trois genres, trois langues, qui dit mieux ? On aimerait saluer la ré- invention constante, mais Emilia Perez ne casse pas le genou à un débiteur de la mafia.
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