Guillaume de Prémare a toujours voulu s’engager. Un atavisme sans doute : son père était officier de cavalerie, blessé en Indochine. Né en 1967, dernier d’une fratrie de dix enfants, il se passionne pour la politique. Il faut dire que dans sa famille, de tradition catholique et légitimiste, le sujet est omniprésent. Mais pas totalitaire : « En 1974, pour l’élection présidentielle, j’étais impressionné par Arlette Laguiller, par son énergie, son activisme ». Adolescent, Guillaume fait une rencontre intellectuelle qui le marquera : les catholiques sociaux du XIXe siècle, Ozanam, Le Play, La Tour du Pin surtout, et son Vers un ordre social chrétien. [...]
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